Cours de l’or et de l’argent, prix de pièces d’or, lingots d’or & bijoux en or - Gold & Silver - Agence BDOR : achat, vente & rachat d’or

Ligne directe : 03 88 234 234

Budget 2026 : ce que la suspension de la réforme des retraites va vraiment changer

Suspension de la réforme des retraites, congé de naissance, surtaxes : ce que prévoit le PLFSS 2026 voté à l'Assemblée.

Par Enzo BECHER

Article publié le : 13 décembre, 2025

Temps de lecture : 2 minutes

Prenez en main votre patrimoine : que faire maintenant ?

ChatGPT Mistral Claude Perplexity Grok

Budget 2026 : ce que la suspension de la réforme des retraites va vraiment changer

Abonnez vous à nos actualités BDOR Discover

En bref

Le Sénat a rejeté ce vendredi 12 décembre 2025, à une large majorité le PLFSS 2026 adopté par l’Assemblée le 9 décembre 2025

Le texte revient en lecture finale à l’Assemblée nationale mardi, sans modification sénatoriale

La suspension de la réforme des retraites jusqu’en janvier 2028 n’est pas encore définitivement acquise

L’âge légal reste provisoirement figé à 62 ans et 9 mois pour les assurés nés jusqu’au 31 mars 1965

70 000 départs anticipés dès 2026 sont toujours intégrés au chiffrage, pour un coût proche de 400 M€

Plusieurs mesures fiscales et sociales restent contestées, notamment la taxation des mutuelles

Un rejet final ouvrirait une phase d’incertitude budgétaire et sociale majeure


Un PLFSS voté… puis rejeté sans débat au Sénat

 

Adopté d’une courte majorité par l’Assemblée nationale le mardi 9 décembre 2025, le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2026 n’aura pas survécu à son passage au Sénat. Trois jours plus tard, les sénateurs ont rejeté le texte par le biais d’une question préalable, estimant qu’il n’y avait pas lieu d’en débattre.

Le scrutin est sans appel : 182 voix contre 106. Ce rejet ne modifie pas le contenu du texte, mais renvoie le PLFSS à l’Assemblée nationale dans sa version strictement identique à celle adoptée initialement. La navette parlementaire est ainsi interrompue, laissant aux députés le dernier mot lors d’une lecture finale prévue mardi au Palais Bourbon.

 

A lire aussi : L’or flambe à 4 241 $ l’once pendant que les États endettés gèlent les réformes : votre épargne est-elle vraiment à l’abri ?

 


Réforme des retraites : une suspension encore incertaine

 

Le cœur du texte demeure la suspension partielle de la réforme des retraites, avec un gel du relèvement de l’âge légal jusqu’en janvier 2028. Concrètement, les assurés nés jusqu’au 31 mars 1965 conserveraient un âge légal fixé à 62 ans et 9 mois, tandis que la génération 1964 bénéficierait d’un départ anticipé de trois mois, sous réserve de réunir 170 trimestres.

Selon les projections de la Cnav, cette pause entraînerait 70 000 départs supplémentaires dès 2026, pour un coût budgétaire évalué à environ 390 à 400 millions d’euros la première année, puis 1,9 milliard d’euros en 2027. Ces chiffres restent toutefois conditionnés à une adoption définitive du texte mardi.

 


Un simulateur toujours prévu, mais suspendu au vote final

 

Un simulateur national de retraite, annoncé pour mars 2026, reste inscrit dans le PLFSS. Il doit permettre aux assurés d’intégrer l’ensemble des régimes de base, complémentaires et spéciaux afin d’anticiper précisément leur date de départ et leur pension.

En cas de rejet surprise du texte à l’Assemblée, ce calendrier serait automatiquement remis en cause, tout comme l’ensemble des paramètres de calcul liés aux générations concernées par la suspension.

 


Fiscalité sociale : des mesures toujours sous tension

 

Le texte prévoit toujours l’instauration d’un congé de naissance dès 2026, cumulable avec les congés maternité et paternité, pour une durée de deux mois indemnisés partiellement. Son coût exact reste conditionné à des décrets d’application.

Côté recettes, la version actuelle du PLFSS repose sur plusieurs compromis fragiles :

  • abandon partiel de la hausse de CSG sur les revenus du capital,

  • exclusion des assurances vie, PEL et revenus locatifs,

  • rendement ramené à 1,5 milliard d’euros, contre plus de 3 milliards initialement envisagés.

Ces arbitrages ont été vivement critiqués par la droite sénatoriale, qui reproche au texte de faire porter l’effort quasi exclusivement sur les recettes, au détriment des dépenses.

Selon notre expert : Tandis que la Fed temporise, la France suspend ses économies : l’or devient l’unique refuge crédible hors système.

 


Taxation des mutuelles et arrêts maladie maintenus

 

La taxation exceptionnelle des complémentaires santé, estimée à 1 milliard d’euros, figure toujours dans la version transmise à l’Assemblée. Elle reste l’un des points de crispation majeurs, en raison du risque de répercussion sur les cotisations des assurés.

Le texte conserve également l’encadrement des arrêts de travail initiaux à un mois, avec des renouvellements plafonnés à deux mois, ainsi que l’exonération de charges patronales sur les heures supplémentaires pour les grandes entreprises.

 


Des économies abandonnées, un équilibre contesté

 

Plusieurs mesures d’économies ont été définitivement retirées lors du passage à l’Assemblée :

  • abandon du gel des pensions,

  • retrait de la cotisation patronale sur les titres-restaurant,

  • suppression de la hausse des franchises médicales par décret.

Pour la majorité sénatoriale, ces renoncements fragilisent l’équilibre du système de santé. À l’inverse, le gouvernement défend un texte de compromis, rappelant que son rejet définitif ferait entrer la Sécurité sociale dans une zone d’incertitude budgétaire inédite.

Mardi, les députés auront donc à trancher une dernière fois. Une nouvelle adoption ouvrirait la voie à l’entrée en vigueur du PLFSS et entérinerait officiellement la suspension de la réforme des retraites. Un rejet, en revanche, prolongerait le flou politique et financier autour du modèle social français.

Partager l'article :

 

Découvrir aussi

Assurance maladie 2026 : hausse contenue à 3 %, 8 milliards promis pour sauver l’hôpital
13 décembre 2025
La couronne de Miss France 2026 est-elle réellement en argent ?
13 décembre 2025
Transmettre l’argent de son compte à qui l’on veut : voici la seule méthode réellement légale pour éviter la succession
13 décembre 2025

Diversifiez vos achats d’Or physique en investissant dans des lingots d’Or, des Onces d’Or ou des pièces d’Or.

Appeler l'Agence BDOR 03 88 234 234 03 88 234 234

 

ACHAT D’OR EN LIGNE - AGENCE BDOR

 

L’Agence BDOR, experte en métaux précieux vous informe sur l’actualité de l’or, le cours de l’or, de l’argent ainsi que sur les pièces et lingots d’or d’investissement. Vous souhaitez acheter de l’or, rendez-vous dans notre rubrique d’achat d’or en ligne.

 

Acheter de l'or

 

Prix de l'Or

Mise à jour le 12/12/2025 à 13h30
Lingot d'Or 1 Kg117 950,00 €+3,28 %
Lingot Or 500 Gr60 000,00 €+2,74 %
Lingot Or 100 Gr12 750,00 €+9,16 %
20 Francs Napoléon Or689,80 €+0,72 %
20 Francs Coq Marianne Or689,80 €+0,72 %
20 Francs Suisse Or680,00 €-0,72 %
50 Pesos Or4 439,00 €+0,89 %
Souverain Or885,70 €+0,68 %
 

TOUS LES COURS DE L'OR

 

NOUS SOMMES SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX

 

 


CONTACTEZ UN EXPERT

 

 

Appeler l'Agence BDOR 03 88 234 234 03 88 234 234


NOTRE NEWSLETTER

Inscription Newsletter BDOR

 

Contact Agence BDOR Restez informés !


ACHAT OR SÉCURISÉ

 Livraison Offerte et Assurée

 

Appeler l'Agence BDOR 03 88 234 234Acheter de l'or en ligne

À PROPOS

L’Agence BDOR est une agence privée et indépendante, experte en achat et vente d’or - Gold & Silver. Nous proposons le cours de l’or et le prix de l’or en direct, ainsi que la valeur des lingots d’or et des pièces d’or comme le Napoléon d’or (Louis d’Or), le 50 Pesos ou encore le Souverain. Nos experts en numismatique sont là pour vous aider à valoriser votre pièce d’or ou d’argent. Bénéficiez des meilleures offres de rachat d’or et d’argent pour vos bijoux ou vieil or afin d’obtenir la meilleure cotation de l’or et ceci au meilleur moment.

CONTACT

Achat Or et Argent - Contact 

Ligne directe : 03 88 234 234

AGENCE BDOR 67000 STRASBOURG 2 Rue du Travail (Place des Halles) - AGENCE BDOR 68000 COLMAR 24 Avenue de la République (en face du manège)