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“Il ne disparaîtra pas par magie” : Montchalin alerte sur le déficit public

Déficit public à 5 %, retraites partiellement gelées, 74 Mds € d’intérêts en 2026 : les arbitrages pèsent sur l’épargne des Français.

Par Cécile DOERFLINGER

Article publié le : 17 novembre, 2025

Temps de lecture : 2 minutes

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“Il ne disparaîtra pas par magie” : Montchalin alerte sur le déficit public

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En bref

  • Le déficit public pourrait grimper à 5 % du PIB en 2026.

  • La dette génèrera 74 milliards d’euros d’intérêts dès l’an prochain.

  • Le dégel total des retraites et prestations sociales semble exclu.

  • 40 milliards d’euros d’économies restent à arbitrer.

  • Le gouvernement envisage de maintenir certaines coupes ciblées, notamment pour les foyers les plus aisés.

 

Un déficit qui s'aggrave, une épargne qui vacille

 

Le gouvernement français se retrouve face à une trajectoire budgétaire de plus en plus préoccupante. Dans une interview au Parisien, la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin évoque un déficit public autour de 5 % du PIB pour 2026, bien au-delà des 4,7 % visés. Un niveau jugé insoutenable, alors que la dette entraîne déjà 74 milliards d’euros de charges d’intérêt prévues dès l’an prochain.

 

A lire aussi : Tensions mondiales, explosion du déficit : l’or pourrait redevenir le seul refuge viable des patrimoines en 2026.

 

La ministre insiste sur l’urgence de rééquilibrer les comptes sans céder à la facilité politique. "Le déficit ne va pas disparaître par magie", rappelle-t-elle, s’adressant indirectement aux parlementaires réticents à voter certaines restrictions budgétaires.

 


Retraites et aides sociales : vers un dégel partiel

 

Alors que l’inflation continue d’éroder le pouvoir d’achat, le sujet du gel des retraites et des prestations sociales cristallise les tensions à l’Assemblée. Le texte initial du gouvernement prévoyait une suspension temporaire de l’indexation, représentant 3,6 milliards d’euros d’économies. Supprimée en première lecture, cette mesure pourrait toutefois revenir sous une forme ajustée.

Amélie de Montchalin n’exclut pas un maintien du gel ciblé, notamment sur les allocations familiales pour les ménages les plus aisés. Elle s’aligne sur les évaluations du ministère du Travail et des services parlementaires, qui chiffrent un dégel intégral à plus de 20 milliards d’euros une somme jugée incompatible avec les objectifs actuels.

 


Sécurité sociale et endettement : une spirale budgétaire en marche

 

Le budget de la Sécurité sociale, déjà prévu en déficit de 17,5 milliards d’euros, a vu son solde se creuser après les amendements votés. Cette dérive interroge la capacité de l’État à contenir ses engagements, alors que la charge de la dette absorbe une part croissante des ressources fiscales.

Face à cette dynamique, la ministre prévient : chaque économie non réalisée en 2026 devra être compensée plus tard. Une pression budgétaire reportée sur les années suivantes qui pourrait accentuer la défiance des épargnants et des investisseurs, déjà échaudés par l’instabilité fiscale.

 

Selon notre expert : Les épargnants fuient les marchés instables et les promesses fiscales : le cours de l’or franchit un cap historique.

 


Vers une pause sur certaines dépenses publiques

 

Le projet de loi de finances 2026, bien que jugé "sur la bonne voie" par Amélie de Montchalin, reste inachevé selon ses propres termes. Elle appelle à un rééquilibrage profond, mais sans remise en cause des droits fondamentaux. Seuls les amendements contraires au droit européen ou international semblent fermement écartés.

Dans les coulisses, l’objectif de 40 milliards d’euros d’économies mobilise tous les ministères. Une "pause" sur certains postes de dépense est désormais officiellement envisagée, sans calendrier précis. L’épargne des ménages pourrait, elle, devenir la prochaine variable d’ajustement indirecte, à mesure que les exonérations, abattements ou niches fiscales sont réexaminés.

 


L’épargne en ligne de mire des futurs arbitrages

 

Alors que l’exécutif resserre la vis budgétaire, l’épargne des Français semble de moins en moins protégée. L'instabilité fiscale et la dérive des déficits alimentent une atmosphère de vigilance accrue. Entre gel partiel des pensions, possibles nouvelles ponctions sur les produits d’épargne réglementée, et pression sur les classes moyennes, les détenteurs de patrimoine liquide ou immobilier sont sous surveillance.

Cette dynamique pourrait inciter de plus en plus de ménages à se tourner vers des actifs tangibles et décorrélés de la dette publique, dans une logique de débancarisation raisonnée.

 


Vers des alternatives plus résilientes ?

 

Dans un climat où les promesses budgétaires s’étiolent, les Français commencent à repenser leurs arbitrages patrimoniaux. L’or, l’argent physique, et certains produits d’investissement non bancaires (livrets hors réseau, structures étrangères, sociétés patrimoniales) regagnent en popularité, à l’abri des taxes et des revirements de Bercy.

Les épargnants prudents se réarment, conscients qu’aucun placement n’est neutre fiscalement. La diversification devient un réflexe de précaution plus qu’un choix opportuniste. En toile de fond, la défiance envers la dette souveraine alimente le retour à des stratégies d’indépendance patrimoniale.

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