Budget 2026 Sénat : négociations serrées, retraites, impôts et menace d’ordonnances. Les débats s’annoncent explosifs.
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En bref
Le Sénat ouvre l’examen du budget 2026 sénat avec sept jours de débats ininterrompus.
Le centre et la droite veulent revoir la suspension de la réforme des retraites et réduire les hausses d’impôts.
À l’Assemblée, le volet dépenses du budget 2026 a été rejeté, annonçant une confrontation institutionnelle.
Le gouvernement pourrait recourir à des ordonnances si aucun accord n’est trouvé dans les délais.
La gauche sénatoriale prépare une résistance collective contre les modifications portées par la majorité sénatoriale.
L’examen du budget 2026 s’est ouvert au Sénat dans une atmosphère chargée. Dès mercredi après-midi, les élus ont entamé un marathon législatif de sept jours pour disséquer le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Ce calendrier resserré alimente la crainte d’un affrontement institutionnel entre chambres, d’autant que le texte arrive déjà fragilisé par les débats chaotiques de l’Assemblée nationale.
La version transmise aux sénateurs n’est pas celle initialement pensée par le gouvernement. Plusieurs dispositions liées aux retraites, aux dépenses sociales ou encore aux hausses d’impôts ont été modifiées par l’Assemblée. Les groupes centristes et de droite, décisifs au Palais du Luxembourg, entendent revenir sur ces réécritures, qu’ils jugent trop orientées vers l’augmentation des prélèvements.
Le ministre du Travail, Jean-Pierre Farandou, a rappelé aux sénateurs que le déficit prévu pour la Sécurité sociale atteindrait environ 24 milliards d’euros, loin de l’objectif de 17,5 milliards inscrit dans la première mouture du gouvernement. Pour lui, maintenir un tel niveau de déséquilibre mettrait à mal la solidité du système.
La commission des finances de l’Assemblée a massivement bloqué le volet dépenses du budget de l’État après avoir déjà rejeté la partie recettes. Ce double refus laisse le gouvernement dans une position délicate : comme dans chaque cycle budgétaire, c’est de toute façon le texte initial qui aurait été examiné en séance, mais ce vote symbolique illustre une opposition renforcée.
Les députés socialistes se sont abstenus, tandis que tous les autres groupes ont repoussé les propositions de dépenses. Ce climat dégradé annonce une partie compliquée pour la suite du processus législatif.
Face à la possibilité d’un blocage institutionnel, l’exécutif pourrait, en théorie, recourir à des ordonnances pour faire adopter les budgets dans les temps. Une perspective loin de faire consensus.
Interrogé sur franceinfo, Jean-Pierre Farandou a expliqué vouloir éviter un tel dénouement, évoquant la nécessité de maintenir un cadre politique stable et un dialogue parlementaire fonctionnel. Malgré cette volonté affichée, l’hypothèse reste sur la table si le Sénat et l’Assemblée ne parviennent pas à converger.
Même minoritaires, les groupes socialistes, écologistes et communistes ont déjà annoncé leur intention de s’opposer fermement aux modifications portées par la majorité sénatoriale. Lors d’une conférence de presse commune, leurs représentants ont dénoncé une volonté de « démantèlement » des avancées obtenues à l’Assemblée.
Les critiques se sont intensifiées autour de la suspension de la réforme des retraites, point central des tensions politiques actuelles. Cette mesure, soutenue par la gauche, avait été intégrée sous peine de censure, ce qui renforce l’enjeu de sa réintroduction ou de sa suppression par la droite sénatoriale.
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Stéphanie Rist, ministre de la Santé, a profité de son intervention au Sénat pour rappeler les 80 ans de la Sécurité sociale, soulignant la dimension sociétale et historique de ce système. Elle a insisté sur la volonté du gouvernement de préserver un cadre budgétaire cohérent sans recours au 49.3, présenté comme un « signe de respect » envers le débat parlementaire.
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